( Toute reproduction interdite, à moinsse que vous ne mentionniez, ne rancardiez l'auteur, et n'en fassiez un régal d'usage )
Toniodelavega, parce que parce que parce que Tonio mon diminutif hispanique, Le cygne de l'épée de Don Diego De La Vega si répandu dans ma tribu maternelle, Toniodelavega s'est sentimentalaimant imposé à moi. ou Antoine, de nom Teillet, Artistisan de surcroît.
Je bedasse, je Bedos, dans les couloirs d'un Prévert
Je Chuck Berry et j’open The Doors pour retrouver la chambre de mon Dupontel païen. Jaurès pas cru tapoter Noir Désir le clavier, avant que je m'en D'Ormesson, que je m’en De Kersauson ce soir.
Je croyais m'inspirer de la volupté d'une autruche atteignant le Nirvana. Mais il s'agit bien là d'une Coluche qui entortille ces Desproges d'une prose. Devos à moi, les Proust animaliers de Gaspard alléchant cette onctueuse matinée O mon Dieudonné, je ne peux les oublier. Et bien que... en totale Improvisators Dub et peut-être dans un Bourdieu sans nom, je vous les Deleuze quand même. De Groodt, mon énergie vagabonde-t-elle entre lave, et Cendrars dans le Monty Python de la Fournaise ? Par Tati ou par-là, je Hayao Miyazaki, invoquant Nausicaä de la Vallée du Vent. De Rage Against the Machine, je m’emploie à mettre à l’abris, Princesse Mononoké et Bob Marley, tous deux victimes de la folie extralucide d’Ernesto, el Ché. Dans son ranch Rover, John Carpenter, sirotant sa Cronenberg avec les frères Coen, me l’a confié. Où serait-ce Wes Anderson, au volant de son Hindi Zahra, sous les impulsions électrisantes des Who et d’Hendrix, en route pour son Led Zeppelin ?
J’espère que les allégories de Bernard Lavilliers et Dick Annegarn que j’M n’en seront pas trop éprouvées. Dead Can Dance, la mort peut danser. Comme les mots, les envolées artistiques, les Charlie Chaplin aussi. Et il nous faut faire Eminem, Nas et Wagner avec. Pendant que la foule applaudissait cette triste tirade dans les Gardin, j’écoutais les encouragements de Susheela Raman, de Rokia Traoré, magistrales sensualités, et je prenais Montaigne pour sculpter ma chevelure armée. Car je sens qu'à Dark City, une Massive Attack se profile. Onfray mieux de ne pas y aller. Et pourtant, je m’y rends, téméraire résistance, à bord d’Interstellar, mon vaisseau ailé. Mais je dois d’abord échapper à The Police qui recherche aussi la Queen de Grande-Bretagne, Boadicée. Ensuite, je retrouverai H2G2, le guide du voyageur galactique, pour côtoyer de près la satire poétique de Benoît Delépine et Gustave Kervern et mieux naviguer sur ce site.
Maintenant, au coin du Feu!Chatterton, Sylvain Tesson-nous, Et apprécions le silence scribouilleur, vagabond et explorateur !